Antoine
sur Eastenwest
Contient : chevaliers (5)(...) Les bêtises d'Antoine Dans cet Akasha le temps s'écoule de façon très anarchique : parfois il s'écoule beaucoup plus lentement (souvenez-vous de l'interminable montée des marches du sanctuaire dans lesChevaliersdu Zodiaque ou de la durée moyenne d'un match dans Olive et Tom par exemple). En revanche, à l'image des transitions parfois un peu « rudes » entre épisodes, des sauts brusques font que le temps global passe plus vite que dans le monde réel : lors de ce genre de saut, les habitants (et donc les PJs) apprennent comme dans un récit ce qui c'est passé. (...)
En revanche ce que les PJs vont devoir prendre en compte c'est l'arrivée au bout d'un certain temps (à votre discrétion) du groupe dechevaliersrêveurs. En effet, les manteaux noirs (au moins celui qui a réussi à s'échapper) faute de tout comprendre ont fait un rapport détaillé à ses supérieurs : l'obédience de Manteaux blancs dont il dépend a dépêché un groupe dechevaliersrêveurs (templiers capables de rêver de façons très particulières et d'emporter avec eux du matériel dans les Akashas). Ceschevaliersrêveurs connaissent un peu le fonctionnement des Akasha, notamment une partie des limitations des sciences occultes et ils se moquent de la survie de l'Akasha : ils n'ont donc aucun scrupule à y porter de l'orichalque. Ils sont prêts à semer la désolation dans l'Akasha, menace bien plus grande que les maladresses d'Antoine, surtout si les PJs assistent aux erreurs du jeune arkaim et le corrigent. (...)
De plus ils sont jeunes et impétueux et assez ignorants des dangers de l'usage des talents pour l'Akasha : ils feront donc usage de leurs talents avec assez peu de modération, aggravant les dégâts causés par Antoine, les templiers (et éventuellement Michael si les PJs sont imprudents). Quoiqu'il en soit, aucun PJ (ni même leschevaliersrêveurs d'ailleurs, ce qui à terme leur sera fatal) ne peut repartir de l'Akasha : seul Antoine est assez innocent et en phase avec le « ton » de l'Akasha pour en retrouver la porte, ce qui pour lui est assez facile. (...)Ce scénario est plus un cadre, un contexte, qu'un scénario. Je veux dire par-là qu'il est extrêmement ouvert : le thème central est le « sauvetage » d'un jeune orphelin, Arkaim, qui s'ignore. La première partie est conventionnelle et ne devrait pas être trop complexe. Au terme de celle-ci, les PJs se retrouvent dans un Akasha qui a pour atmosphère l'enfance, les contes, dessins animés... Dans la mesure où chacun à un minimum de souvenirs des séries, contes ou héros qui ont bercé sa jeunesse, je n'ai ...