Fortepierre
sur L' Etincelle
Note JdRP : Utilisez le sommaire en haut de page pour naviguer. Intro : Enfin, cela fait plusieurs mois que je suis arrivé dans cette baronnie frontalière, rempart reconnu infranchissable par quiconque en voit les forteresses. Malgré cela, la fin de la guerre a plongé cette fière baronnie dans un chaos vicieux et progressif : le marché noir se développe, les complots naissent et le pouvoir établi de la jeune famille des Devor, déjà affaibli par les lourdes pertes dues à la guerre, décline. ...Contient : chevaliers (6)(...) Ma crainte pour ma vie ne vient pas de l'Ennemi mais bel et bien de la famille actuelle : ce sont deschevaliersquasi fanatiques qui défendent le pays des incursions liturges et si leur force et leur bravoure ne sont plus à démontrer, leur finesse est quelque peu réduite. (...)
Souvent en voyage dans Fortepierre, elle garde cependant des liens très étroits avec la famille qu'elle adore par dessus tout. Elle est aussi connue pour ses talents de bretteur qui en fait l'égal de certainschevaliersdu royaumes. Etonnamment, Aude n'est pas mariée, et à ce sujet elle déclare ne pas avoir le temps de s'y intéresser. (...)
Ainsi, sur un édit d'un premier Baron, la baronnie de Fortepierre fut créée. Des contingents de soldats furent alloués à cette baronnie et deschevaliersfurent nommées selon un système compliqué de vote en fonction du mérite... Avec le temps, les soldats fondèrent des familles qui vinrent s'installer autour des garnisons et des villes naquirent. Leschevalierspendant ce temps se pourissaient allégrement grâce au système politique qui donnait la part belle aux intrigues. (...)
Les seigneurs, trop occupés à leurs complots, délaissaient leur premier devoir de protecteur du peuple, leschevaliersoisifs ne protégeaient plus la baronnie non plus, et elle était en proie à tous les brigands, pillards et mercenaires sans solde. (...)
Celui-ci s'y fit prendre à son propre piège : les gardes, habitués aux dessous de tables, se firent acheter sans grande peine par les deuxchevaliers. Ainsi, les deux comparses menèrent le peuple jusqu'à la puissante forteresse. Arrivé à la cour, le peuple qui haïssait tant ses dirigeants de l'avoir laissé se faire décimer sans ciller, exécuta tous les nobles de la cour. (...)