Les labyrinthes de la douleur
sur The Case of Kimble au format (178 Ko)
Contient : villa (16)(...) Bien entendu Vicky Preston n'était pas et n'est toujours pas au courant de la double-vie de son mari. Lavillaabandonnée des Carter fut investie par Gales et Santini. Presque tous les jours ils s'y retrouvèrent lisant et relisant leurs notes prisent en Angleterre. (...)
Mais il se trompa, la folie s'empara de sa femme ce qui obligea Gales à quitter le domicile conjugal, et rentrer officiellement à Londres. Officieusement Gales résidait dans lavillades Carter, voyant grandir sa nouvelle petite famille. Il donna toujours des nouvelles à femme pour ne pas éveiller les soupçons, elle était toujours aussi déprimée et commençait à émettre des soupçons quant à la nature de son discours. (...)
les PJs peuvent apercevoir des larmes lui monter aux yeux ...elle ne pouvait pas parler longtemps car ils allaient revenir et que s'ils la trouvaient au téléphone, ils allaient la tuer, elle me supplia d'aller la chercher à lavillades Carter mais sans appeler la police car il la tuerai sans doute...puis la ligne fut coupé... » Les Pjs, en questionnant Vicky Preston, peuvent apprendre sur : - ses relations : si dans son entourage elle possède des ennemis, si elle a reçu des menaces etc. (...)
- son mari, le père de la petite fille, est médecin, elle expliquera qu'à la « mort » de leur enfant, il n'a pas supporté et retourner vivre à Londres, sa ville natale et que sa dernière lettre remonte d'un peu plus de six mois. Il n'est pas au courant de l'appel. - lavillaCarter, tout le monde sait à Arkham qu'elle est abandonnée depuis des lustres. - la police, elle ne les a pas prévenu, ce sont les seuls au courant de l'affaire. (...)
Le second, elle réinstallera tous les cadres photos de sa fille, si le gardien le souhaite elle peut remettre les photos de son mari, ou encore elle dresse la table pour 3 personnes. Avec le peu de renseignements que les Pjs possède, ils peuvent soit se diriger directement à lavillades Carter, se rendre à la police, à l'usine Anderson's Hill ou aux archives des journaux locaux. (...)
Grâce à un jet en bibliothèque, on peut trouver les articles qui relatent les faits concernant les nombreux enlèvements qui ont eu lieu durant cette période. Lavillades Carter. Si les Pjs font des recherches sur lavillades Carter, ils apprennent que lavillaappartient à la famille Carter pratiquement depuis la fondation d'Arkham. Christopher Carter est la dernière personne à y avoir habité, et il est mort au tout début du siècle. La famille Carter n'a bien sur aucun lien avec l'enquête, mais elle pourrait les mener sur une fausse piste. Pour se rendre à lavillades Carter, il faut sortir d'Arkham en direction du sud-ouest et parcourir une dizaine de bornes avant d'apercevoir l'immense demeure. (...)
Il ne possède bien entendu aucun lien avec l'aventure mais les Pjs risquent de sérieux ennuis s'ils vont fouiner dans ses affaires. En entrant dans lavillades Carter, les Pjs la trouvent vide, mais à tout moment il faut qu'ils croient que quelqu'un ou quelque chose y est toujours tapi dans l'ombre. (...)
Ces peintures représentent des anges difformes dont la dentition rappelle celle d'un vampire, des maigres bêtes de la nuit que les Pjs prennent pour le diable sous ses diverses formes et un vieillard chenu à la barbe grise se déplaçant sur un coquillage tiré par une licorne, il s'agit bien entendu de Nodens. Une fois que les PJs prennent les peintures pour les examiner, la porte d'entrée de lavillas'ouvre brutalement, résonnant dans toute la maison. Ils entendent alors des pas lourds qui craquent sur le plancher du rez-dechaussée, suivi de plusieurs souffles rauques inhumains. (...)
) En découvrant la chaussure orthopédique, les Pjs seront persuadés de l'importance de l'affaire et que la petite Christie n'est peut être pas morte comme le prétend sa mère. Note : De malins Pjs voudront sans doute revenir surveiller lavillapensant que les kidnappeurs et autres êtres mal attentionnés reviendront sur les lieux mais ce n'est pas le cas, ils sont déjà en route vers le motel d'Innsmouth. (...)
La première nuit, les Pjs n'apercevront rien d'anormal, et finiront par s'en dormir sur place, via les jets de CON ratés, dans leur planque au beau milieu des fougères, mauvaises herbes (c'est ici que l'un des hommes de Gales peuvent les prendre en photos. Voir plus loin)...Vers 10 heures du matin, un clochard fera de lavillades Carter son nouveau domicile. Si les Pjs le croisent la journée, ils apercevront une forme derrière les planches des fenêtres ce n'est qu'au dernier moment qu'ils comprendront qu'il ne s'agit que d'un simple clochard. (...)
Si on le questionne à propos de la chaussure, il dira que la commande a été uniquement passée par téléphone et qu'il a eu à faire à une personne dont l'accent allemand était surjoué. Il a du livrer la commande à lavillades Carter, sans poser de questions au risque de représailles mortelles. Il a trouvé la somme, avec 100 dollars supplémentaires pour acheter son silence, sur le perron puis il est rentré chez lui. (...)
Je compte sur vous pour éclairer ma lanterne.» Ces photos représentent les peintures se trouvant dans lavillades Carter, des doigts d'enfant sectionnés faisant référence à l'article sur la condamnation de Santini, et sur la dernière les Pjs. (...)
Le motel comporte à vue d'oeil une vingtaine de chambres. Sur le coté, on peut apercevoir un camion (les pneus correspondent avec les traces de lavillades Carter) garé dans ce qui était autrefois un garage. A l'arrière du camion, des civières improvisées couverte de rouille ont été installé pour transporter des corps de petites tailles. (...)Le spiritisme et tout ses dérivés étaient très en vogue au début du siècle, d'ailleurs de nombreux cercles ésotériques furent crées à Londres, la capitale du monde... C'est dans cette ville, en 1902, que Charles Gales, médecin de bonne famille y goûta pour la première fois. Ces petites séances lui permettaient de souffler, de décompresser et un peu d'oublier ses nombreuses heures de travail. Là, il se prit d'amitié avec Santini, un petit scientifique de Liverpool. Très vite, ils y tissèrent ...