Crimes : version amateur
sur Les Ecuries d’Augias au format (156 Ko)
A la veille de la guerre de 1870, l'affaire bouleverse la France. La famille Kinck décimée par un meurtrier cupide, reçoit des obsèques nationales. Jean-Baptiste Troppmann, un Cernéen de 21 ans, est condamné à mort et exécuté. 1869 : l'affaire Troppmann Tout commence le 20 septembre 1869, au petit matin. Un cultivateur découvre par hasard dans un carré de luzerne, entre le fort d'Auberviliers et la gare de Pantin (à 2 km de Paris), le corps d'un enfant. Bouleversé, il court avertir les autorités ...Contient : assemblée (3)(...) Toute cette résistance héroïque face à l'ennemi assiégeant aura servi à rien : les casques à pointes entreront dans la capitale. Fluctuat nec mergitur. La devise parisienne : elle flotte mais ne coule pas. L'AssembléeNationale, réfugiée à Versailles comme au temps de la Révolution, multiplie les vexations à l'égard des parisiens, qui réagissent par l'insurrection quand on tente de leur reprendre leurs armes. (...)
Les colonies de la peur Les Indes Lors d'un traditionnel goûter autour d'un thé, un administrateur britannique demande à sa fille devant des invités : -« Chérie, que peux-tu me dire sur nos colonies des Indes ?» -« L'Inde a la forme d'un grand cornet de glace » répondit la jeune demoiselle, faisant pouffer l'assembléedes lords. Lasse de se contenter des comptoirs maritimes côtiers, la machine anglaise entreprit d'assujettir l'intérieur de la péninsule indienne, sans se douter des dangers qu'elle allait y braver. (...)