Dieu et le Roi !
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Ce scénario a été élaboré pour la convention de jeux de rôles et de simulation organisée par la section jeux de rôles de la MJC de la fondation Lagrange à Quetigny près de Dijon en Cote D'Or. Cette manifestation eut une courte existence puisqu'il n'y eut que cinq éditions : en 1992, 1993, 1994, 1995 et 1996 toujours pendant les vacances de la Toussaint. Elle a connu cependant de suite une grande popularité et rassembla selon les années de 200 à 350 joueurs et joueuses. Cette convention comportait ...Contient : bourg (9)(...) Il s'agissait de l'isoler au fin fond de la campagne, histoire de lui faire passer ses mauvaises habitudes... Et puis, qui aurait voulu d'une cure aussi éloigné du monde ? En arrivant, Rabier constata qu'on ne l'avait pas gâté en lui confiant un telbourg. Ce village comptait 3 ou 400 habitants sales et arriérés. Coincé entre le bocage et une forêt profonde et sombre, l'endroit n'avait rien de très attrayant. (...)
Le premier au nom peu engageant : « Le culte des Goules » et le second en Latin du nom « Ysgheboth ». Il commença la lecture du « Culte des goules ».... Dans la nuit, les habitants dubourgfirent irruption dans le presbytère, le tirant de son livre alors qu'il commençait à devenir blême devant une aussi abominable lecture... « - Curaillon, te voilà donc surprit en pleine lecture ! (...)
Du tien.... ou du Notre !!! AH AH AH AH AH ! C'est ainsi que Rabier fut forcé de suivre la populace dubourgjusque dans les bois. Dans l'endroit le plus sinistre qu'il n'aie jamais vu. Au milieu d'arbres morts mais qui remuaient sans cesse... il vit se rapprocher ces arbres monstrueux et les animaux accoururent... tous les habitants entonnèrent un chant diabolique et discordant et le conduisirent au centre d'une clairière illuminée par des feux. (...)
Petite note : Nyarlatothep ordonna à son « enfant » de ne pas répondre à l'appel lors du massacre du village par l'armée républicaine : une division de 10 000 soldats ne s'arrête pas, même avec cette seule créature... et puis bien de trop de témoins à son goût... ce jour-là. Le second, connu seulement de la famille Cadiou (la plus grosse famille dubourgdont le plus ancien membre fait office de chef du village et qui d'ailleurs sont à l'origine de la création de la communauté), permet de renvoyer « l'Ange Rouge au-delà des étoiles Enfin le troisième et dernier, de loin le plus redoutable et lui aussi connu de tous, permet à celui qui l'utilise (presque tout le temps quelqu'un à l'article de la mort ou en danger de mort) de transférer son esprit éternellement dans n'importe quel objet, animal ou végétal... rendant ce dernier partiellement actif. (...)
En tout les cas, j'espère que vous prendrez plaisir à le faire jouer, autant que j'ai pris de plaisir à sa conception et à le faire jouer. Livre de Raison : De Jean Cadiou et de la famille Cadiou, en cebourgde Puy-Crapaud. Ce jourd'hui le sept août de l'an mil sept cent soixante et quinze, mon père Pierre Cadiou s'en est allé rejoindre nos aïeux dedans le bois sacré qui est attenant au village. (...)
Prochainemens il cherchera dedans [...] l'ancien curé, et lors nous [...] ouvrir les yeux à la vraie foi... Le treize novembre de l'an mil sept cent quatre vingt et quatre. La chose ne s'est point faite attendre long-temps... Dans la nuit les habitans dubourgfirent prestement irruption dedans l'église le tirans de sa lecture alors qu'il commençoit à devenir bien mur ! (...)
Et tu voiras ben qui est le vrai dieu ! Du tien... ou de Notre ! » C'est ainsi que Rabier forcé [...] suivre les habitans dubourg[...] le bois où il vit les arbres... [...] arrivé à [...] n'avons pour [...] pareil [...] ce voyageur naïf trouvoit [...] notrebourg, mais craignons la neige [...] maintenant qu'il doit être en confiance dedans le lit de l'auberge, nous allons pouvoir le prendre. J'ai fais préparer les instrumens sacerdotaux et je souhaite simplemens que le curaillon Rabier sera à la hauteur de sa tache. (...)
Le six juillet de l'an mil sept cent quatre vingt et treize. Des émissaires de Charrette et de Cathelineau sont arrivés aubourgce matin pas trop rassurés. Nous mandant pourquoy nous n'avons point joint encore leur armée royaliste et catholique. (...)